Le 3 juin, Syntra West a lancé la deuxième session de la « Chocolate University » en Belgique en collaboration avec Dominique Persoone, Belcolade et Selmi.

La « Chocolate University » doit devenir un centre de connaissances international où les chocolatiers, et non des moindres, joignent leurs efforts pour faire changer les choses. L’initiative nourrit l’ambition de transmettre les connaissances en matière de tendances et de techniques dans le monde du chocolat. Avec, en ses murs, plus de 50 chocolatiers passionnés qui, chaque jour, créent, renouvellent et innovent, Bruges ne manque certainement pas de tout le savoir-faire ni des connaissances nécessaires. Dans cette ville, vous pouvez trouver du chocolat de tous les goûts et de toutes les couleurs, dans toutes les formes et dimensions possibles. La seule chose qui manquait encore au tableau était un lieu où l’on puisse s’initier à ce savoir-faire, ce métier, une véritable université du chocolat, en quelque sorte. Et c’est dans ce domaine précis que les choses changent à présent.

La « Chocolate University » constitue un centre de connaissances où les chocolatiers du monde entier peuvent venir se perfectionner dans leur art. C’est de cette manière que la Chocolate University entend diffuser ses connaissances des toutes dernières tendances et des techniques les plus récentes dans le monde du chocolat.

La Chocolate University Belgium a débuté par une semaine d’ateliers, de démonstrations et d’expériences sur le thème du chocolat. Voici quelques noms de chocolatiers hors pair, membres de l’équipe des professeurs :

Dominique Persoone (The chocolate Line) démontre de quelle manière naissent de nouvelles idées, des idées novatrices et comment les mettre en œuvre.

Stéphane Leroux (Auteur du Bleu Chocolat) apprend aux participants à créer de splendides chocolats (pralines) et leur montre comment les décliner au niveau le plus élevé.

Michel Eyckerman (Belcolade) dévoile aux participants de quelle manière certains problèmes apparaissent – ‘sugar bloom’ et ‘fat bloom’, pour ne citer que ces deux exemples – et surtout comment les éviter.